Mensonges d'enfance de Jocelyne Robert.

http://www.renaud-bray.com/Livres_Produit.aspx?id=1659522&def=Gwendoline+Derni%C3%A8re+%2301+Mensonges+d%27enfance%2cROBERT%2c+JOCELYNE%2c9782761942577

Je vais chercher le livre vendredi soir prochain, à la Librairie Asselin, librairie de mon quartier.

Comme je suis née dans ces années-là et que j'ai passé mon enfance dans le même quartier que l'héroïne du livre, je vais courir me l'acheter dès que je sortirai du resto vietnamien sur Léger, avec mon amie Diane.

Mensonges d'enfance

Par l'auteure Jocelyne Robert

DESCRIPTION DU LIVRE
Gwendoline Dubois déboule inopinément sur la planète en plein cœur du xxe siècle et du Faubourg à m'lasse. Septième et dernière enfant d'une tribu endiablée, elle survit à l'attaque surnoise de sa sœur Claire-­Obscure, se débarrasse bien vite de la carapace de tortue qui l'encombre et finit par intégrer l'école des bonnes sœurs après trois expériences désastreuses.

Quelque part entre le bas de la ville et New Croydon, le sens de la fête la rattrape et elle amorce sa propre révolution, pas si tranquille que cela. À 14 ans, fan finie de son frère Jean-Jean le truand et émule de Maria Goretti autant que de Lady Chatterley, Gwendoline lit les Évangiles à la messe du dimanche tout en apprivoisant le pouvoir naissant de sa sexualité. Jusqu'à ce que, un soir d'Halloween, elle franchisse avec stupéfaction une étape décisive, calée dans les bras d'un irrésistible clown-joueur-de-football…

Mensonges d'enfance est le premier tome de la trilogie «Gwendoline Dernière», qui raconte la vie d'une héroïne farouchement vivante, de 1950 jusqu'à nos jours.

tentant...tu donnera des nouvelles!

Elle a été longuement interviewé hier soir par Denis Lévesque et je l'ai entendu ce matin aussi, à Deux filles le matin, je pense.

Je vais le réserver à la biblio.  Je n'achète plus de livre depuis très longtemps.  Une fois que je les ai lus, je les mets dans ma biblio et ils restent là.  À présent, je vais les chercher à la biblio et ça ne me coûte rien. C'est certain que pour des gens qui aiment lire, c'est correct. Mais, 21$ + taxes, je préfère le réserver.

Chaque année, quand je fais une vente de garage, je sors des livres que je ne tiens pas à conserver et je les vends pas cher évidemment. S'il en reste, je les donne à un organisme de charité.

Par contre, j'achète en général mes livres dans une libraire de livres usagés sur la rue Masson dans le quartier Rosemont.

Et puis, pour moi, les livres c'est sacré.

En ce sens que depuis que je suis enfant, les livres je les aime comme on aime nos animaux. D'ailleurs, s'il fallait que je doive choisir par ordre d'importance ce que je voudrais conserver sur une île déserte, ce serait mon chum, mes animaux et ensuite mes livres.

IL est vrai par contre que certains bouquins ne méritent pas qu'on les conserve toute une vie ou même quelques années sur nos tablettes de bibliothèque!

Ceux-là, je n'ai pas de chagrin à m'en défaire.

D'autres oeuvres, par contre, représentent pour moi comme un attachement sentimental. Je pense aux premiers livres que j'ai lus adolescente: Jean Paul Sartre, Camus, Gérard de Nerval, Verlaine,Rimbaund, Emile Nelligan et j'en passe. Henri Troyat, Max Gallo et combien d'autres...

Est-ce que tu as commencé à le lire? À part les entrevues qu'elle a données, je n'ai rien entendu d'autres. Ni rien lu non plus.

Je ne suis qu'aux deux premières pages.

Je t'en reparle dès que je peux.

Ah, merci.

C'est de mon âge mais je ne connais pas assez la ville pour ça.

C'est sûrement très bon.

En attendant que je te donne mon impression du livre, La Puce, je t'invite à lire cet article:

http://www.journaldemontreal.com/2015/03/05/naitre-et-grandir-au-coeur-du-faubourg-a-mlasse

A date, je souris quand je lis certains paragraphes. Ca ressemble vraiment beaucoup à ce que j'ai vécu et quand elle parle d'une rue, d'une ruelle, d'une école ou d'une glacière qu'il fallait tenir froide avec un gros bloc de glace, je revois mon enfance.

Par contre, c'est une écriture légère, pas compliquée. Ce n'est pas de la grande littérature, on s'entend.

Je ne suis rendue qu'au moment où elle doit entrer à l'école.

Alors, voici La Puce:

Je suis rendue aux 3/4 du livre.

Je te dirais que c'est léger, drôle et parfois émouvant mais, ce n'est pas le genre de livres qui va entrer dans la littérature québécoise.

C'est une coche ou deux au-dessus de la littérature pour adolescente donc, très léger.

Par contre, on se reconnait, on reconnait un pan de notre enfance et des choses et paroles que les québécois de ces années-là faisaient ou disaient. Il y a de jolis clins d'oeil à notre enfance.

J'ai terminé la lecture hier.

C'est cute, je le répète mais vaut mieux le prendre à votre bibliothèque quand il sera disponible. Ca ne vaut pas le prix.

Par contre, ce n'est pas un livre démoralisant. Ca se lit tout seul.

Merci Feedakie. Justement, hier midi, Michel Barrette à son émission, disait qu'il avait bien aimé le livre.

C'est gentil de nous l'avoir commenté.

Bienvenue La Puce.