Une autre chronique de Pierre Harel mais, cette fois, sur Alex Nevsky

Je vous invite à lire ce texte publié en 2013 sur une étoile montante québécoise: Alex Nevsky. Toujours par Pierre Harel (celui qui avait été époustouflé de la beauté de Marie-Mai).

http://fr.canoe.ca/divertissement/musique/chroniques/pierreharel/archives/2013/10/20131015-100715.html

Il dit vers la fin:

Saviez-vous que le Grand Prince de Novgorod, Alexandre Nevsky, libérateur de la Russie des invasions Allemandes, exterminateur des Chevaliers Teutoniques, Alexandre Nevsky, dont Serge Eisenstein immortalisa les exploits guerriers et la vie tumultueuse dans l'une des œuvres cinématographiques incontournables du patrimoine mondial, cet immense Alexandre Nevsky est un petit peu québécois! Mais oui! Sachez que son arrière-arrière petit-fils, Alex Nevsky, est un chanteur pop originaire de Granby! Il se peut qu'à la chute des Romanov, lors de la révolution bolchevique, les Nevsky s'enfuirent avec d'autres membres de la noblesse russe vers l'Amérique, et surtout New York. Il n'est pas impossible qu'un Nevsky aventureux se soit égaré lors d'une chasse à l'élan dans les Montagnes Blanches, qu'il ait traversé la frontière sans le savoir, qu'il se soit retrouvé aux environs de Granby dans les bras d'une belle aubergiste et qu'il lui ait fait croire à l'amour...

La Russie étant devenue bolchevique, soviétique et communiste, il est à souhaiter que notre Alex Nevsky choisisse un pseudonyme différent, si jamais il avait l'intention d'aller offrir l'une de ses prestations en Russie soviétique. Juste au cas où. C'est loin de revenir en courant, le piano sur le dos, de Moscou à Granby...

Voici la chanson à laquelle il fait allusion dans son article: "On leur a fait croire à l'amour". Nos amies européennes, dites-nous si vous aimez ou pas. Ne soyez pas timide.